MES MENSONGES

Natalie Portman by Mario Testino for V November 2009 4



 (J'aime beaucoup écouter After the smoke en ce moment, alors je me suis dit qu'un très très gros lecteur pourrait vous permettre de le découvrir aussi... Si t'aime le R&B déstructuré qui transpire ça va sans dire... mais si tu m'aimes t'es obligé d'écouter un peu)

L'autre jour en feuilletant un magazine, je tombe sur une interview de Marian Hands (à l'affiche de Jappeloup avec Canet).
La journaliste interroge l'actrice sur son passé de cavalière. Marina explique qu'elle a fait de la compèt' de cheval et qu'elle a dû arrêter parce qu'elle n'avait pas le mental pour ce genre de situation.
La journaliste lui demande "vous n'aviez pas un gros mental", elle lui répond en substance que non, elle a un mental de merde, un mental d'actrice.

En lisant les mots de Marina ça s'est tout d'un coup éclairé dans mon cerveau... Moi aussi, même si ne je suis pas actrice, j'ai un putain de mental de merde.

C'est étrange parce que jusqu'à la lecture de cette interview, comme j'ai fait du sport de haut niveau par exemple, j'étais absolument certaine du contraire. Genre Marie aka le gros mental stéroïdé!

Sauf qu'à part la conviction profonde que j'en avais (inspirée par cette théorie des prophéties auto-réalistrices peut-être, qui sait!) je n'avais jamais vraiment fait le point sur ma manière d'encaisser le monde.
Le monde quand je suis en pêche, je l'encaisse sereinement, aussi violent  qu'il puisse être par moments, il glisse, en revanche quand je suis moins en pêche, ce qui m'arrive relativement souvent, je suis nettement moins dans la sérénité.
Il m'abat le monde.
Ca se traduit notamment par une incapacité à me rassurer sur moi et ma propre valeur.
Je chouine. Je me plains. Je rechouine. Je réfléchis (mal, vu que le monde n'est qu'un énorme truc dégueulasse qui s'est ligué exprès contre moi parce qu'il me déteste). Après je rechouine. Et puis je pleure. Je dors. Ca va mieux.
Gros mental stéroïdé donc!

En lisant l'interview de Marina, je me suis sentie moins auto-mytho... Non mais 33 ans à penser que j'étais une putain de machine de guerre du mental... Une arme... Non mais lol, j'en reviens toujours pas de m'être autant trompée (non parce que fallait me voir en société "non mais moi, t'sais le sport fais ça, j'ai un putain de mental. J'encaisse grave (lolilol). Non mais c'est comme ça que tu peux continuer à dribbler du ballon alors même que ton coach t'insulte (j'avais dû oublier que je dribblais en pleurant au même moment))...

Toi aussi tu te mens hein? Toi aussi tu crois que t'es un truc mais si t'analyses ta réalité, c'est pas vrai du tout.

Deux autres mythos qui constituent ma propre légende: Je suis un coeur de pierre (en vrai je chiale toutes les 2 minutes) / Je passe vite à autre chose avec les gens, je me lasse, je me casse (en vrai je ne suis que nostalgie et ça me gonfle d'une force)...

Allez love les copains.

PS: Désolée pour le postage rare, je suis au max là. Mac Do + Double Latte + Mon voisin de table qui mange un Big Mac en lisant L'équipe tout en tapant sur mon clavier (je réponds à vos commentaires dans la journée)

Commentaires

irène a dit…
je ne suis que nostalgie.
IDEM.
Et c'est lourd parfois ... Je me demande si c'est pas un peu par flemme que je ne vais pas trop de l'avant.
Et ça me désole encore davantage!
SuperDialOo a dit…
"Il m'abat le monde"

Tu connais le mythe du géant Atlas? Celui qui porte le monde sur ses épaules? Ben moi je crois que ce mythe a été inventé justement pour dire que personne au monde n'a les épaules pour. Le monde fait mal oui, pour peu qu'on soit sensible et nostalgique, c'en est fini, douleur quand tu me tiens...

Avoir un gros mental ou pas? Est ce que ça veut dire que le monde est divisé entre les forts/ les faibles? Je me suis jamais vraiment posé la question comme ça pour mon cas. Je crois que le monde abat tout le monde; que ce qui fait la différence c'est ce que tu en fais... Soit se laisser glisser, ou aller à contre courant et se frayer un chemin (comme les saumons, hihi). Est ce à ce moment là qu'il faut parler de gros mental? Je pense pas avoir ça alors. Je crois qu'on peut avancer avec sa sensibilité, l'envie et le besoin de l'exprimer, ce qui en somme parait relever du mental faible.
Ce post que tu écris, je le vois comme une façon de remonter le courant, comme une tentative de transformer la lourdeur du monde en autre chose, comme un acte de sincérité envers nous lecteurs et envers toi même aussi... Tu crois pas?
Anonyme a dit…
Qu'est ce que j' (t') adore que tu (me) fais découvrir du bon son ! Bises
Peregrine a dit…
Pour moi, la force d'une personne c'est justement d'accepter ses faiblesses, et à la limite de ne pas les considérer comme.
Ton post me touche parce que je suis éduc dans la vraie vie, et que la construction identitaire est, tu l'imagines bien, au cœur de mon travail.
Je ne suis pas fan des "mental d'acier" et "cœur de pierre" en tout genre...
J'aime ce qui est sensible chez l'Autre, ce qui est humain en fait... Ca fait un bien fou de se retrouver face à des personnes humaines, mais vraiment humaines je veux dire... Pas des machines de guerre.
On nous fait croire depuis toujours que l'adulte est fort, parfait, solide... Et ça, c'est mentir aux enfants. Et c'est surtout leur coller un bon coup de pression et d'angoisse sur l'adulte qu'ils devront être, et qu'ils ne seront évidemment pas...
Alors, les adultes, laissons-nous aller à ce qu'on a de plus humain, et, les enfants, restez serein, vous aurez le droit de pleurer quand vous serez grands, de douter et de ne pas savoir comment gérer, et surtout vous aurez le droit de le dire et de solliciter de l'aide.
Bon, je divague un peu je crois bien... ;)


Anonyme a dit…
A la lecture de ton post (qui tombe à-pic) je me dis, nan, mais c'est trop ça ! Moi aussi : grosse mytho que je suis sur le sujet... Je m'écarte un peu mais pour y revenir ... Comment dire ? Je pense souvent que toutes les filles sont des fleurs ou qu'une fille aime les fleurs (c'est comme ça point). Toutes sauf moi ! Nan, parce que moi je suis une mauvaise herbe ! Une mauvaise herbe dans le sens devoir être forte parce que pour toi c'est moins évident dans la vie, combattante, "encaisser le monde" grâce donc à ce mental de guerrière. Mais voilà rien n'est moins sûr ... On est toutes fleurs finalement.
Je vais te laisser ces lignes ... ne les prends pas premier degré, elles ne sont pas aussi pensées et posées comme j'aurais aimé te dire. Mais voilà :)

Belle semaine !

Pauline
Delfine a dit…
J'aime beaucoup ton article, mais je ne vois pas bien le rapport avec Natalie portman ? Ceci dit, j'aime tellement cette photo que je suis ravie de la voir sur ton blog...
Caroline a dit…
Pfou, pas facile ces questions! Je pense qu'il n'y a pas de faibles ou de forts, juste des personnes qui ont eu à faire à plus ou moins de coups durs. Comme Peregrine le dit, la manière dont on parle aux enfants est importante. Et pourtant, je pense qu'il est nécessaire de trouver sa manière de panser les blessures.

Aujourd'hui je sais que je suis dans le 'vrai' monde (j'ai 22 ans) et qu'il est de ma responsabilité d'en faire quelque chose, mais bon sang, il m'a fallu pas mal de misère pour le comprendre. Et je n'ai pas encore trouvé la recette pour 'faire face'. Je suis juste en chemin.

C'est compliqué quand je vois des personnes qui vivent la vie à 100 à l'heure, mais je sais aussi qu'il est meilleur de ne pas vouloir suivre un mode de pensée extérieur.

Et se le dire c'est déjà un pas en avant non? :)

Bises
clochette a dit…
Oh, moi j'ai dû faire face à ma vérité plus tôt, vers 17/18 ans, j'ai bien été obligée, c'était ça ou j'arrêtais le violon. Après des années à vomir avant d'entrer sur scène, avoir l'archet qui tremblait tellement que j'arrivais pas à jouer une note correcte et des trous de mémoire donnant de grands moments de solitude sur scène, j'ai bien dû me rendre à l'évidence: j'avais besoin d'aide. Et vu que c'est pas la bienveillance des adultes autour de moi qui les a étouffés pendant mon enfance, c'est les médicaments qui ont "résolu" mon probléme. Donc voilà, je suis une violoniste incapable de jouer en public sans bêta-bloquants. Sauf en orchestre, heureusement, d'ailleurs, depuis que j'aimon poste, je joue plus en solo, comme ça c'est réglé. Ce serait cool, un jour, de montrer mon travail, mes trippes, sur scène, et y prendre plaisir. D'arrêter de me saboter. Ce sera dans une autre vie :/
Anonyme a dit…
Alors je me reconnais tellement dans ce que tu dis que j en ris toute seule devant mon écran. Je me pense souvent neutre ou blasée dans les situations de tout les jours..mais en fait je suis une vraie éponge, je pleure pour rien et j ai du mal a rester dans le présent et penser futur me stress grave...je vis carrément dans le passé :p..
Camille a dit…
Pour Clochette :
Je lis rarement les commentaires, mais le tien m'a accroché quand j'ai survolé le mot "violon". J'en fais, en ai fait aussi, et j'ai ressenti cette exigence qu'a particulièrement cet instrument. Je n'aimais pas en jouer seule devant des gens qui me connaissent, peut-être parce que c'était trop personnel ou que j'avais un autre blocage, je n'ai jamais vraiment su ... ce n'était pas si terrible que toi, mais idem, l'orchestre c'était mes meilleurs moments, là ou je frissonnait de jouer, de faire partie de ce mouvement incroyable et de prendre conscience que faire de la musique est vraiment une belle chose :)

Et merci pour After the smoke Marie !
Helene a dit…
Couocu Marie!Ce post me parle enormement...cette année je me suis rendue compte que peut être je n'étais pas aussi forte que je le prétends, peut être que je n'ai pas du tout un coeur de pierre (depuis quand je m' émeut devant des films!!!je me contrarie moi meme!Je suis pas nunuche moi!), ou encore, j'ai tendance à mettre une fin à plusieurs relations, je suis un papillon, (ou un mec, comme me disent mes potes)...mais en vrai, pareil,apres coup j'y repense, je suis nostalgique (du coup je pleurniche etc...).Donc je me demande, d'ou me vient cette "réputation" de coeur de pierre?De fille forte?En fait je me suis dite que je me mentais à moi meme que j'avais une image de moi totalement fausse.Ou pas.Peut être il y a des facettes de nous meme qui ne ressortent que quand on est seuls, ou avec 1-2 personnes de confiance. Peut être on est pas des menteuses,peut etre (en tous cas pour moi) on essaye juste de coller à l'image que les autres ont de nous (c'est super confus, tu vas rien comprendre, désolée...)..En tous cas merci pour cet article, qui m'as fait réfléchir et relativiser... Et merci pour tes vidéos sur les cheveux et la peau (rien à voir avec l'article je sais..), certains jours je me sens une bombasse, et ça c'est grâce à toi!bisous!!
Juju a dit…
Salut Marie !
Ben moi je trouve que t'as un super mental, parce que t'es capable de reconnaître tes faiblesses, de prendre du recul, de te moquer de toi-même. Tu as de l'auto-dérision (ce dont finalement peu de gens sont capables), et ça ça fait plaisir ! Tu ne te prends pas trop au sérieux même si les sujets que tu abordes le sont, sérieux !
Merci pour tout ça, pour ces tranches d'humanité !

Love love love
petitprunier a dit…
avant, j'étais super forte, super orgueilleuse, super winner-amazone-les-obstacles-tombent-rien-qu'en-les-regardant... toute puissante et aussi blindée de certitudes... mais ça c'était avant.

Avant que ma vie ne se ramasse dans les grandes largueurs. j ai mis un temps fou à admettre que cette petite chose pleine de doutes, d'interrogations et de failles était vraiment ce que j'étais dorénavant. et encore plus de temps à l apprécier, à l'aimer et à profiter de ce que ça avait apporté comme changements : plus sensible mais sans sensiblerie, plus ouverte tout en restant à l ecoute de moi meme, plus intuitive, plus de réflexion, et dans une petite petite mesure, plus intelligente (si si...)...

je crois qu aujourd'hui je suis lucide sur ce que je suis ( ce qui ne veut pas dire que j aie trouvé qui je suis, evidemment, ca serait trop simple, tu parles). par contre j ai l impression quais permanente que les autres s en racontent beaucoup sur moi. l impression de n etre qu une imposture? jme dis qu au fond, c est probablement parce qu il reste un peu de la nostalgie, de l envie et de l esppoir d etre encore invincible au fond de moi que je projette des trucs pas tout à fait en adéquation avec ce que je suis

des bisous ma belle
Anonyme a dit…
Parfois ça décomplexe d’entendre que d’autres aussi ont lâché la bride sur des choses qui à une époque semblaient fondamentales. Dans mon esprit alembiqué je n’arrive jamais à savoir si c’est parce qu’on change et que d’autres centres d’intérêts prennent la place ou bien parce que finalement on se résigne et des choses sur lesquelles on s’entêtait et bien n’en valent plus la peine. Pour moi c’est très important le mental, comme pour les arts martiaux à utiliser au bon moment et ne pas gaspiller ou dépenser vers des choses inutiles. Et en vieillissant c’est bien là le problème (pour moi) je suis atteinte par des remarques qui créaient un sentiment de culpabilité, un mot dont je connaissais à peine le sens il y a quelques années ! Donc je lutte pour ne pas être quelqu’un de totalement froid, j’essaye aussi de ne pas me laisser déborder par trop de sensibilité, y a peut-être un truc avec les hormones aussi ?!!
Je n'avais absolument pas reconnu Natalie Portman
Belle très belle. XXXX Rose
Marie a dit…
Ton article est magnifique, tu as illuminée ma soirée
Marie a dit…


Irène: C'est peut être de la flemme, ouais… pour moi aussi remarque!

SuperDialOo: Je voyais le monde divisé ouais, mais il se trouve que ma volonté profonde n'influence visiblement pas ma force. Je ne suis que moi!
Et oui, je crois que ce monde de win me fatigue un peu!

Anonyme <3 je suis contente que ça te plaise!

Pérégrine: Merci beaucoup pour ton commentaire <3 Non tu ne divague pas tant que ça…

Pauline: :) Merci bonne semaine à toi aussi ma fleur!

Delfine: Aucun, elle était tellement belle et conquérante sur cette photo…

Caroline: Il faut faire face, même si pleurer en scred est nécessaire. Se le dire est un vrai pas en avant!
Je t'embrasse

clochette: C'est fou cette histoire… Ceci dit t'as finalement trouvé une diversion, la drogue :D
Tu n'as jamais envisagé d'arrêter le violon pour autant?
Je t'embrasse

Anonyme: Pareil… Ma soeur (ou mon frère d'ailleurs cher anonyme!)

Camille: DE rien, c'est bien hein?

Hélène: On change quand même, c'est étrange, je pleurais pas avant (bon à 13 ans certes!)
Merci beaucoup pour toutes tes gentillesses!
Je t'embrasse

Juju: Ah ouais tu crois? Je vais me dire ça alors…

petitprunier: Mais avant finalement, t'étais forte ou c'était autre chose (un masque? )

Je t'embrasse et merci pour tous tes commentaires toujours si personnels et justes, ils me ravissent… je viens bientôt à Nancy, je te redis <3

Rose: une amie me disait ça que je me décrivais comme une chochotte, elle me disait que non, dans le situations importantes, graves et qui l'exigent, je suis là et j'assure… tout ne l'éxige pas!

Marie: <3 Merci

Stéphanie a dit…
Pas lu les autres commentaires mais ce que tu écris me fait penser à certaines questions que je me pose souvent sur l'ambivalence de nos petites pommes : est-ce qu'on n'aurait pas tous (ou la grande majorité) à la fois un gros mental et un mental de merde ? A différents moments, différentes situations ? Par exemple, je considère que j'ai un mental de merde aussi (plein de preuces à l'appui) MAIS j'ai déjà tenu tête (=pas céder sur plusieurs points) sans défaillir et sur la durée à un type menaçant et dangereux et j'ai assuré à 100% en emmenant mon fils aux urgences avec une méningite sans savoir s'il s'agissait de la version soft ou de la version quand même un peu mortelle... Moi, et je n'en tire aucune fierté, au contraire, je me définis beaucoup par l'ambivalence : je suis timide mais grande gueule, je suis optimiste mais flippée, je suis courageuse mais flemmarde, je suis pudique mais chaude ^^...
petitprunier a dit…
tropbien si tu repasses par la lorraien, j ai hate :-) merci pour tes mots, ca me touche enormement

et pour repondre à ta question, ben je crois que j'étais surtout très egocentrée et très orgueileuse... ça m aveuglait un -gros- brin. apres reflexion, je pense que je refusais catégoriquement de laisser ma part de faiblesse, ma part plus fragile -ce que je voyais comme ma "dark side" en fait -s exprimer. du coup, c est pas vraiment que j étais réellement forte, c est que je maintenais soigneusement à distance tout ce qui pouvait mettre en péril, ou simplement en déséquilibre, cette prétendue force. mais ça fonctionnait!

jt embrasse ma belle
Anonyme a dit…
Salut !

Bah en fait, je me reconnais aussi, je me dis toujours que je suis super forte parce que j'ai réussi à passer certains caps, mais si j'ai réussi à les passer, c'est surtout parce que je n'avais pas le choix, j'étais "dedans". Au fond, j'ai également un mental de merde, incapable de gérer ce qu'il faut quand il le faut, et quand j'essaie de me mentir en me disant "ah là ça va quand même super bien depuis des semaines, je suis pas si quiche que ça", BAM dans les jours qui suivent, tout s'écroule et je reviens au point de départ. C'est un peu brouillon expliqué comme ça, mais je me reconnais bien dans ce post et ce qu'il signifie. Bonne analyse.
Anonyme a dit…
J'ajoute qu'il y a également une ambivalence en voyant les autres commentaires, parce que tout en étant une stressée et chouineuse de première (mais désormais je l'accepte un peu mieux), ça ne va pas m'empêcher d'accourir vers le danger sans aucune peur, comme dit dans un commentaire précédemment, si des types me font chier dans la rue, je vais pas hésiter à sortir une phrase bien sentie, voire à leur courir après s'ils ont été trop loin et ça peut vraiment être dangereux parfois, contrairement à des choses où je vais rester tête baissée et qui sont "moins graves". Là est toute la complexité du genre humain.
Mademoisellevi a dit…
Moi qui suis fan du monde du blog, je m'y suis mise depuis peu (d'ailleurs si tu veux y faire un tour : mademoisellevi.blogspot.fr) je suis particulièrement fan de ton monde !!! Bravo pour ces articles très inspirants !

Bonne continuation

Virginie

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