L'HERBE PLUS VERTE
( Dieu, que la fille de chez Hanneli est jolie. Avec ses cheveux roses.)
(Nique sa mère l'underground. De toutes façons, j'aime bien Jenifer, alors plus la peine de faire genre... Pire, j'aime bien comment elle se sape! Je vous montrerai dans la semaine, histoire que vous vous arrêtiez de pouffer en vous foutant de ma gueule! Ne niez pas et puis, de toutes façons, vous auriez tort de vous en priver.)
Il y a un truc que vous devez savoir maintenant, à force, c'est que si je ne poste pas, c'est que j'ai un moral de merde. Et pour être tout à fait honnête, ça fait moult années que je me bats pour ne pas être celle qui 1) se démoralise en un battement de cils et 2) réussit à passer outre son moral de merde... Mais je ne poste pas beaucoup ces derniers temps.
Le pessimisme c'est un poil relou.
J'entends dire, dans le fond de la salle que ce post s'annonce plombant et, qu'en plus, plutôt que de "chialer" sur mon sort qui est, d'un point de vue global, assez enviable, il faudrait peut-être que j'apprenne à prendre sur moi...
(Laissez moi le temps de la vexation... Je boude grave!)
Ayé, j'ai fini.
Donc je me demandais d'où venait cette permanente insatisfaction? Je sais que je ne suis pas la seule à la ressentir. Tout est là, pas faim, pas soif, un lit, les pieds sont au chaud, de l'argent, même pas beaucoup (c'est toujours plus que la plupart des autres humains) sur le compte, a priori tout pour être bien... Mais ça n'en reste pas pour le moins vide...
Étrange.
Alors tac, premier réflexe, on pense que cette insatisfaction, elle vient de la névrose?
Mouais...
Pas sûre, pour autant que cela soit aussi évident.
Non, il doit y avoir autre chose.
Il y a une dizaine d'années, dans ma vie quotidienne, j'ai été en contact direct et affectif avec une femme qui était d'une positive attitude invraisemblable (Pas de blague de merde, aucune référence directe à Lorie, y a pas à dire, c'est plus mûrir que je fais, c'est m'assagir, pas moins). J'utilise cette rencontre pour illustrer ce post, la plupart des humains étant d'un naturel plutôt pessimiste, j'ai pas des milliers d'exemples.
Sa vie était loin d'être plus facile.
Les vies et ses malheurs ne se quantifient certes pas, mais elle avait eu, amplement et avec un peu de rab, son lot de vrais merdes, drames et tout ce qui va avec.
Et pourtant, rien ne l'avait jamais assommée.
Ca m'a tout de suite intriguée. Et ça continue.
Qu'avait-elle de plus, elle qui ne se plaignait jamais, qui aimait intensément la vie, même quand celle-ci faisait sa chiennasse?
Quand on s'est rencontrées, j'avais 21 ans, une époque où que je pratiquais allègrement la victimisation (comme la plupart de mes congénères d'ailleurs!). Son regard sur moi et sur mes comportements a modifié des tas de choses.
Ce que j'ai compris en vivant avec elle et en l'aimant, c'est que le bien-être, l'acceptation de soi n'ont strictement rien à voir avec le contexte de la vie dans laquelle on se trouve. Elle ne dépend pas du soleil, du pouvoir d'achat, de ce qu'il y a dans l'armoire, de la ville et du reste. Un reste, pour le moins, très anecdotique d'ailleurs.
L'épanouissement et la joie de vivre ne seraient donc pas contextuels.
En la regardant, je me disais qu'il s'agissait plutôt de choix, de décisions que l'on prend pour être DANS sa vie plutôt que de se focaliser sur ce que l'on va faire de sa vie. Ce qui est important, on est bien d'accord, mais quand les choses à faire ne sont pas, comme pour moi, évidentes, il faut les reprendre dans le bon ordre. Ce que son attitude m'enseignait, c'est qu'il était très important d'être bien avec soi. Ne sûrement pas chercher à être une autre, mais plutôt de s'optimiser avec tendresse. Et surtout, de bien se connaître, ça semble être la clef de la confiance. De la confiance en soi et dans la vie.
En septembre dernier, je suis partie de Nancy, alors que j'y avais passé la quasi totalité de ma vie d'"adulte".
La vie là-bas y était devenue tellement ennuyeuse que j'ai eu envie, je pensais, "d'avancer".
Rien de mieux que de "tout" quitter, pour enfin laisser les "traumas" et déceptions passés.
Ca, c'est ce que je pensais. Peut-être un peu trop inspirée par Laborit.
Je ne regrette pas d'être partie, mais là où je vis aujourd'hui (mon herbe verte de l'an passé), je m'ennuie et n'ai certainement pas résolu ce que j'imaginais et espérais en venant ici. Parce que moi,je n'ai pas pu me laisser à Nancy.
Ben oui, j'ai bien été obligée de m'emmener, difficile de faire autrement remarquez!
L'herbe verte est ce concept qui définit un autre lieu, un autre état, un autre amour, que celui dans lequel on est, et qui semble bien plus bandant que la vie vécue.
L'herbe verte descend naturellement de l'expression "l'herbe plus verte ailleurs".
Il se trouve que où que j'aille, moi, je serai toujours avec moi, alors essayer de s'échapper n'est pas le meilleur des calculs.
Mon amie qui n'avait pas plus de raisons que moi d'être heureuse avait fait une chose de plus que moi je crois: décider de tout faire pour l'être. Ou tout du moins essayer.
Il y a une "légende" qui dit que si on fait une chose, tous les jours, pendant 21 jours, elle devient habituelle pour le cerveau. Après, sans y penser, on se met à la faire le plus naturellement du monde.
C'est pas si long 21 jours.
J'ai bien arrêté de fumer, je peux très bien réussir à être optimiste et confiante, c'est pas plus dur.
Je vous embrasse.
À demain.
PS: Vous avez lu le post de Caroline? Cette histoire est pas croyable!
PSbis: Le Discours d'un roi est un film exceptionnel. Si Colin Firth n'a pas d'oscar, je roule une pelle à mon boulanger moustachu.
PS Ter: Nantes, où j'ai passé le week-end, est une ville qui tue vraiment.
(Nique sa mère l'underground. De toutes façons, j'aime bien Jenifer, alors plus la peine de faire genre... Pire, j'aime bien comment elle se sape! Je vous montrerai dans la semaine, histoire que vous vous arrêtiez de pouffer en vous foutant de ma gueule! Ne niez pas et puis, de toutes façons, vous auriez tort de vous en priver.)
Il y a un truc que vous devez savoir maintenant, à force, c'est que si je ne poste pas, c'est que j'ai un moral de merde. Et pour être tout à fait honnête, ça fait moult années que je me bats pour ne pas être celle qui 1) se démoralise en un battement de cils et 2) réussit à passer outre son moral de merde... Mais je ne poste pas beaucoup ces derniers temps.
Le pessimisme c'est un poil relou.
J'entends dire, dans le fond de la salle que ce post s'annonce plombant et, qu'en plus, plutôt que de "chialer" sur mon sort qui est, d'un point de vue global, assez enviable, il faudrait peut-être que j'apprenne à prendre sur moi...
(Laissez moi le temps de la vexation... Je boude grave!)
Ayé, j'ai fini.
Donc je me demandais d'où venait cette permanente insatisfaction? Je sais que je ne suis pas la seule à la ressentir. Tout est là, pas faim, pas soif, un lit, les pieds sont au chaud, de l'argent, même pas beaucoup (c'est toujours plus que la plupart des autres humains) sur le compte, a priori tout pour être bien... Mais ça n'en reste pas pour le moins vide...
Étrange.
Alors tac, premier réflexe, on pense que cette insatisfaction, elle vient de la névrose?
Mouais...
Pas sûre, pour autant que cela soit aussi évident.
Non, il doit y avoir autre chose.
Il y a une dizaine d'années, dans ma vie quotidienne, j'ai été en contact direct et affectif avec une femme qui était d'une positive attitude invraisemblable (Pas de blague de merde, aucune référence directe à Lorie, y a pas à dire, c'est plus mûrir que je fais, c'est m'assagir, pas moins). J'utilise cette rencontre pour illustrer ce post, la plupart des humains étant d'un naturel plutôt pessimiste, j'ai pas des milliers d'exemples.
Sa vie était loin d'être plus facile.
Les vies et ses malheurs ne se quantifient certes pas, mais elle avait eu, amplement et avec un peu de rab, son lot de vrais merdes, drames et tout ce qui va avec.
Et pourtant, rien ne l'avait jamais assommée.
Ca m'a tout de suite intriguée. Et ça continue.
Qu'avait-elle de plus, elle qui ne se plaignait jamais, qui aimait intensément la vie, même quand celle-ci faisait sa chiennasse?
Quand on s'est rencontrées, j'avais 21 ans, une époque où que je pratiquais allègrement la victimisation (comme la plupart de mes congénères d'ailleurs!). Son regard sur moi et sur mes comportements a modifié des tas de choses.
Ce que j'ai compris en vivant avec elle et en l'aimant, c'est que le bien-être, l'acceptation de soi n'ont strictement rien à voir avec le contexte de la vie dans laquelle on se trouve. Elle ne dépend pas du soleil, du pouvoir d'achat, de ce qu'il y a dans l'armoire, de la ville et du reste. Un reste, pour le moins, très anecdotique d'ailleurs.
L'épanouissement et la joie de vivre ne seraient donc pas contextuels.
En la regardant, je me disais qu'il s'agissait plutôt de choix, de décisions que l'on prend pour être DANS sa vie plutôt que de se focaliser sur ce que l'on va faire de sa vie. Ce qui est important, on est bien d'accord, mais quand les choses à faire ne sont pas, comme pour moi, évidentes, il faut les reprendre dans le bon ordre. Ce que son attitude m'enseignait, c'est qu'il était très important d'être bien avec soi. Ne sûrement pas chercher à être une autre, mais plutôt de s'optimiser avec tendresse. Et surtout, de bien se connaître, ça semble être la clef de la confiance. De la confiance en soi et dans la vie.
En septembre dernier, je suis partie de Nancy, alors que j'y avais passé la quasi totalité de ma vie d'"adulte".
La vie là-bas y était devenue tellement ennuyeuse que j'ai eu envie, je pensais, "d'avancer".
Rien de mieux que de "tout" quitter, pour enfin laisser les "traumas" et déceptions passés.
Ca, c'est ce que je pensais. Peut-être un peu trop inspirée par Laborit.
Je ne regrette pas d'être partie, mais là où je vis aujourd'hui (mon herbe verte de l'an passé), je m'ennuie et n'ai certainement pas résolu ce que j'imaginais et espérais en venant ici. Parce que moi,je n'ai pas pu me laisser à Nancy.
Ben oui, j'ai bien été obligée de m'emmener, difficile de faire autrement remarquez!
L'herbe verte est ce concept qui définit un autre lieu, un autre état, un autre amour, que celui dans lequel on est, et qui semble bien plus bandant que la vie vécue.
L'herbe verte descend naturellement de l'expression "l'herbe plus verte ailleurs".
Il se trouve que où que j'aille, moi, je serai toujours avec moi, alors essayer de s'échapper n'est pas le meilleur des calculs.
Mon amie qui n'avait pas plus de raisons que moi d'être heureuse avait fait une chose de plus que moi je crois: décider de tout faire pour l'être. Ou tout du moins essayer.
Il y a une "légende" qui dit que si on fait une chose, tous les jours, pendant 21 jours, elle devient habituelle pour le cerveau. Après, sans y penser, on se met à la faire le plus naturellement du monde.
C'est pas si long 21 jours.
J'ai bien arrêté de fumer, je peux très bien réussir à être optimiste et confiante, c'est pas plus dur.
Je vous embrasse.
À demain.
PS: Vous avez lu le post de Caroline? Cette histoire est pas croyable!
PSbis: Le Discours d'un roi est un film exceptionnel. Si Colin Firth n'a pas d'oscar, je roule une pelle à mon boulanger moustachu.
PS Ter: Nantes, où j'ai passé le week-end, est une ville qui tue vraiment.
Commentaires
Quelle coincidence !! hier au soir je me faisais cette meme reflexion!!
en fin d'année derniére j'ai tout changé,ville,boulot,mec (suis devenue célibataire!),j'ai pris ma gamine et mes problémes à bras le corps...et puis?
Et ben ,je suis pile poil la meme avec les memes doutes et ma petite trouille qui se niche au creux du ventre les jours de spleen...
Mais comme tout le monde j'avance ,plus doucement,plus bancalement,plus douloureusement aussi,mais pleine de "moi",et rien que de "moi" et des choix que j'ai fait et que quoi qu'il arrive j'assumerais jusqu'au bout!!
Je t'embrasse trés fort et continuerais de te lire ...assiduement!!
Seve
Sinon. Je sais pas si tu connais mais vue les questions que tu te poses souvent cet je te conseille Petit traité de vie intérieure! Il est génial et c'est limpide que ce soit le secret du bonheur, après mettre en pratique c'est une autre paire de manche...
Bon article comme toujours! (je le pense vraiment hein c'est pas de lèchebottage de blog de mode haha)
Bisous !
Ah et j'ai commander les produits mène pr lacne Grace a toi j'espère que ça marchera! ;)
Je me demande souvent comment ces gens si optimistes font pour mener leur vie de front, je me demande si c'est un masque qu'ils portent et qu'au fond, on est touts d'éternels insatisfaits...
Je fais en sorte que les choses changent dans ma vie, je fais en sorte d'aller de l'avant, là où l'herbe est verte, je prends ma vie à bras le corps et ... rien... On me dit que ça finira par venir, mais je n'y crois plus. Et comme tu le dis, je ne suis pas à plaindre non plus : un toit, un mec, un job, des loisirs...
Je fais en sorte de ne pas me laisser abattre, de ne pas laisser mon moral me miner et de me "forcer" à aller bien, à voir le positif, car je sais que j'ai des ressources et que je suis forte.
Mais je l'ai constaté hier soir que ça n'empêche en rien de craquer...
Je te souhaite du courage, je nous en souhaite à tous!
Elodie
21 jours tu dis ? Allez soyons fous, "100% des gagnants auront tenté leur chance !".
Moi aussi, j'ai beaucoup aimé le discour d'un roi, mais perso, c'est à Colin Firth que j'aimerais rouler une grosse pelle ;-)
Et oui, Nantes déchire vraiment!
Bises et bonne journée à toi
quoique ce sont les sentiments que j'ai placé en mene&moy !
plus sérieusement, j'admire aussi ton amie, tout en sachant que j'en suis loin, les épreuves me mettrent ko
Je souhaite a tout le monde de rencontrer un jour la copine "positive attitude" dont tu parles. La mienne c est ma voisine, une superwoman qui a ete capable de me redonner la peche les jours ou en plus du spleen permanent les mauvaises nouvelles me tombaient sur la tete. Depuis je pense a ce qu elle me dit, a son sourire et son rire pas decomplexe quand moi je me laisse trop aller vers le cote obscur de la force.
Mais tu sais je crois que c est en prenant des risques, quand on se bouscule qu on chasse le spleen, alors ces 800 km de distance avec ta vie d avant te donne forcement des raisons d etre fiere de toi, pr les decisions que tu as prises ;-))
Mon truc a moi c est plutot "revenir" que partir, pour un amour, pour un enfant, et c est ce qui fait que je sais pourquoi je vis et ce qui me rend heureuse aussi.
je t embrasse fort et merci pour la decouverte du blog de Caroline que je viens de mettre dare dare dans mes favoris...
(ca m a rappele le jour ou j ai quitte l italie et une carriere aussi revee que prometteuse pour refaire 900 km vers le nord... ou en serais je aujourd hui 11 ans plus tard "si" j etais restee.... cette question je me la suis tellement posee que j ai du rater bien 6 ou 7 ans de ma vie a en vouloir au destin et a la terre entiere, aujourd hui que j ai lache l affaire ca va bcp mieux !!!)
LOVE
AA
de régler ses "problèmes":
aller voir ailleurs si on y sera mieux avec soi-meme.
On peut passer une vie dans Son canape
avec l'essentiel et passer a cote.
C'est le conte de
"l'homme le plus bete de la Terre".
Aller loin, pour apprendre qu'on a déjà ce dont
on a besoin mais continuer a passer a cote.
on a besoin mais continuer a passer a cote." -> Ca aussi ça me fait très très peur!!!
Elodie
Je les envie grave et en même temps, parfois, elles me terrifient !
Mais je suis plutôt jalouse, moi, avec mon moral en dents de scie alors que tout va bien pareil.
Maintenant, je fais avec, je SAIS que je suis une cogiteuse tendance noire et je zigzague entre tous ces moments parce que je me connais bien.
C'est surtout pour mon chéri que ça doit être chiant, mais ça fait 10 ans qu'il est d'une patience d'ange.
En même temps, nos questionnements pas toujours roses, ça fait aussi qui on EST. Sans ça, on n'aurait peut-être pas nos bons moments, alors...
bises de Montréal!
Émilie
C’est toujours un plaisir de te lire, tu as du talent n’en doute pas !!
Biz
http://www.tribulationetcupcake.com
Il y a un an et demi, j'ai vécu un vrai bon trauma, comme je n'aurais jamais pu imaginer que ça m'arrive à MOI.
Et puis un déclic, un instinct de survie, je sais pas, j'ai pas encore assez de recul pour le dire, mais je crois que je me suis dis, il n'y a pas écrit sur ton front "tu vas en chier toute ta vie", alors maintenant j'essaie d'être un peu plus douce et indulgente avec moi et surtout d'etre DANS MA VIE, DANS LA VIE.
Heureusement, il ne faut pas toujours vivre le pire pour réaliser à quel point tout est fragile et précaire mais du coup j'ai canalisé mes priorités et surtout je ne suis plus cette petite chose fragile (où du moins de ma perception quI finit par être ressenti par l'entourage...) et je sens mieux de quoi je peux être capable.
Je n'ai pas encore confiance en moi, mais j'y travaille!
J'essaie de gérer mes doutes et mes angoisses, il y a des jours où je n'y arrive pas (mais alors pas du tout), et d'autres où je décide en me réveillant que ce sera une belle journée. J'apprends, comme nous toutes d'ailleurs (remarque, je réalise en l'écrivant que c'est une chance que d'avoir ce luxe d'apprendre, non?).
Peut être qu'il faut suffisamment aimer la vie, être aimé, aimer...
Marie, ça fait longtemps que je te lis et quelques semaines que je te laisse des coms. Tu es bourrée de talents, l'écriture, Coconut et tu es jolie comme tout!
Je suis sûre que tu vas trouver confiance car je trouve que tu te poses les bonnes questions.
http://www.decitre.fr/livres/Les-enigmes-du-plaisir.aspx/9782738123237
Mélodie
Prends soin de toi.
Je t'embrasse aussi.
Carole: Merci du conseil, je vais allez jeter un oeil :-D
Et merci pour les compliments et tiens moi au courant pour les produits.
Bise.
Elodie: Merci de tes mots. je te souhaite plein de courage aussi, on va y arriver :D.
Je t'embrasse.
Anonyme: Oui, c'est sûr. Et nique sa mère les idées noires...
Dou: Je suis assez d'accord pour Colin Firth ;-)
Et c'est vrai, 100 % des gagnants ont tenté leur chance...
Bisous.
Minhoi: peut-être oui!
Khaïra: On va y arriver ma beauté, cessons d'être des petites choses fragiles! Tiens moi au courant pour Mene&Moy hein?
Amande que j'aime d'Amour: C'est marrant ce que tu dis, revenir par amour... C'est rare ;-)
Le blog de Caro la ronde j'adore.
Il faut donc lâcher l'affaire? Et oui, tout simplement, je vais essayer...
Je t'embrasse.
Anonyme: Exactement! C'est vrai que c'est bizarre!
Miss Purple: C'est clair que c'est plus pénible pour l'entourage, vu comme on est relou ;-) enfin je parle pour moi là!
FofiFonfec: :-D
Emilie: On se le tente à mort!
Lakima: Trop linéaires? Pas faux remarque!
Anonyme: à cause de l'entourage affectif? Marrant!
Sonya: MERCI beaucoup! Non, et puis être gonflée à l'optimisme tout le temps, ça doit être relou à la fin, surtout que moi,j'ai pas l'habitude, ça va me fatiguer...
Tribulate: C'est vrai!
lilibulle: "Heureux les simples d'esprit", sans aucun aspect péjoratif, simplement à force de se poser des questions, on trouve la merde, c'est forcé.
Et merci!
Fred: Ton com m'a beaucoup touchée. Merci. Et j'espère que tu vas mieux de jour en jour :-) Je t'embrasse.
Mélodie: Merci pour le lien!
Lost in Mexico: Oh ben oui j'espère...
Pour être heureux, je crois qu'il faut déjà savoir et ensuite mettre de côté ce que l'on ne veut pas...ensuite ça roule tout seul...mais si vous cherchez ce que vous voulez, ce qui vous convient, vous prenez le problème à l'envers....
Bisous